‘Amore che vieni, amore che vai’ (trad. « amour tu viens, amour tu t’en vas ») de Fabrizio De André (1940 – 1999).
« Ces jours perdus à courir après le vent,
à demander une bise et en vouloir cent d’autres,
un jours quelconque tu t’en souviendras !
Amour, tu t’en fuis,
auprès de moi tu reviendras.
Et toi qui, avec les yeux d’une autre couleur,
me dis les mêmes mots d’amour,
dans un mois, dans une année, tu les auras oubliés !
Amour, tu viens,
de moi tu t’éloigneras.
Venu du soleil ou de plages gelées,
perdu au mois de novembre ou avec le vent de l’été…
Je t’ai toujours aimé,
Je ne t’ai jamais aimé !
Amour, tu viens,
amour, tu t’en vas. »